Voici quelques expositions intéressantes proposées par la RMN (Réunion des Musées Nationaux) pour l’année 2023, à Paris et en province. :
– Léon Monet. Frère de l’artiste et collectionneur (titre provisoire)
Musée du Luxembourg
15 mars – 16 juillet 2023
– Mucha au-delà de l’art nouveau
Grand Palais Immersif
22 mars – 20 août 2023
– Naples pour passion Chefs-d’oeuvre de la collection De Vito (titre provisoire)
Musée Magnin
29 mars – 25 juin 2023
– Gertrude Stein et Picasso. L’invention d’un langage (titre provisoire)
Musée du Luxembourg
13 septembre – 28 janvier 2024
– Street Art
Grand Palais Immersif
20 septembre 2023 – 18 février 2024
– Poètes au jardin (vers 1350 – vers 1610)
Musée national et domaine du château de Pau
mi-octobre 2023 – mi-janvier 2024
– Prosper Mérimée
Musée national du Château de Compiègne
15 décembre 2023 – 18 mars 2024
– Juergen Teller
Grand Palais Éphémère
mi-décembre 2023 – mi-janvier 2024
communiqué
Voici les détails des expositions :
– Léon Monet. Frère de l’artiste et collectionneur (titre provisoire)
15 mars – 16 juillet 2023
Musée du Luxembourg
19 rue Vaugirard
75006 Paris
La renommée de Claude Monet et son rôle en tant que chef de file de l’impressionnisme sont aujourd’hui parfaitement établis, mais la personnalité de son frère Léon, chimiste en couleurs, industriel rouennais et collectionneur, reste encore à découvrir. En 1872, Claude Monet, de retour au Havre, peint Impression, soleil levant (Musée Marmottan Monet), alors que Léon fonde la Société industrielle de Rouen et décide d’apporter un soutien actif à son frère et à ses amis impressionnistes.
Ce sont les prémices de la constitution d’une remarquable collection de peintures impressionnistes. Reconnu pour son « intelligence vive et prompte » et son caractère « cordial et franc », Léon Monet devient une personnalité respectée, très impliquée au sein des nombreuses associations culturelles que compte la ville de Rouen. Il incite Monet et ses amis impressionnistes à participer à la 23ème exposition municipale, où il expose lui-même quatre oeuvres de sa collection. Grâce à l’intérêt constant qu’il porte aux artistes de sa génération, les impressionnistes et les peintres de l’école de Rouen, il réunit – avec la collection de son ami François Depeaux – une des plus remarquables collections d’art moderne de la région rouennaise.
L’exposition réunit un ensemble d’oeuvres majeures, autour d’un parcours mettant en évidence le goût de Léon Monet pour des oeuvres qui évoquent les paysages de son enfance passée au Havre et également son épanouissement professionnel et familial entre Rouen et les Petites Dalles sur la côte normande. Elle met en lumière la personnalité de ce collectionneur, ses liens privilégiés avec son frère Claude et avec quelques artistes de sa génération tels que Alfred Sisley, Camille Pissarro et Auguste Renoir.
L’exposition présente aussi des recettes de couleur, des échantillons de tissus et des livres de comptes, évoquant le Rouen industriel dans lequel Léon Monet évolua. En faisant dialoguer peintures, dessins, photographies et albums de couleurs, l’exposition apporte un éclairage inédit sur l’intimité de la famille Monet et le goût partagé des deux frères pour la couleur. Alors que la chimie des colorants synthétiques révolutionne l’impression textile, l’exposition évoque largement le monde professionnel dans lequel Léon Monet a évolué et met en lumière la ville industrielle de Rouen et ses manufactures d’« indiennes ».
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horaires d’ouverture: tous les jours de 10h30 à 19h nocturne les lundis jusqu’à 22h
fermeture exceptionnelle le 1er mai
informations et réservations : museeduluxembourg.fr
accès : M° St Sulpice ou Mabillon
Rer B Luxembourg
Bus : 58 ; 84 ; 89 ; arrêt Musée du
Luxembourg / Sénat
– Mucha, au-delà de l’Art Nouveau
exposition coproduite par Grand Palais Immersif (filiale de la Rmn – Grand Palais) et la Fondation Mucha
22 mars – 20 août 2023
Grand Palais Immersif
110 rue de Lyon
75012 Paris
Alphonse Mucha, la Danse (détail)
Au delà de l’Art Nouveau
Au tournant du XXe siècle, Alphonse Mucha était l’un des artistes les plus célèbres d’Europe. Figure majeure
de l’Art Nouveau, inventeur d’un art graphique original, son oeuvre articule beauté féminine et nature stylisée
à une composition et une typographie résolument innovantes. Dès sa création, le «style Mucha» fascine.
Il est appliqué à une variété d’oeuvres et d’objets qui ornaient alors les maisons des amateurs d’art dans le monde entier.
L’exposition raconte au visiteur l’histoire d’Alphonse Mucha et de son ambition humaniste en trois actes : en tant que maître de l’affiche à Paris ; au tournant de sa carrière en 1900, lorsqu’il s’implique fortement dans l’Exposition universelle de Paris ; et à travers la présentation de ses oeuvres monumentales, notamment L’Épopée slave, qui développe une vision de l’histoire slave comme modèle pacifiste du monde qui résonne aujourd’hui plus que jamais. L’exposition s’intéresse également à son influence permanente : du mouvement pacifiste «Flower Power» des années 60, en passant par les mangas japonais, les super-héros, les artistes de rue et même dans l’art du tatouage.
Une redécouverte du maître de l’Art Nouveau, artiste-philosophe source d’inspiration pour la création d’aujourd’hui.
Au coeur de l’effervescence parisienne de la Belle Époque, Alphonse Mucha invente un nouveau langage visuel, qui continue d’inspirer aujourd’hui un grand nombre d’artistes. Tout au long du parcours, l’exposition met en lumière la grande modernité de l’oeuvre et des influences philosophiques de cet artiste majeur, modèle de nombreux créateurs.
Les visiteurs sont invités à découvrir l’influence de Mucha en particulier dans la série télévisée ARCANE dont les décors sont inspirés par l’oeuvre de l’artiste.
Immersive et interactive, l’exposition utilise les technologies de projection les plus avancées, dans une scénographie captivante afin de permettre une expérience inédite de l’oeuvre et des influences de Mucha.
La dimension immersive de l’exposition est accentuée grâce à l’univers olfactif créé par TechnicoFlor, sollicitant ainsi tous les sens des visiteurs. Spécificité de GPI, une création musicale originale est composée spécialement pour l’exposition par le Studio de Radio France, Bruno Laforesterie et Benjamin Morando proposent une partition contemporaine,
horaires d’ouverture : lundi de 12h à 20h; mercredi au dimanche de 10h à 20h; nocturne le vendredi jusqu’à 22h
fermeture hebdomadaire le mardi
tarifs : 16 €
TR : 14 € (demandeur d’emploi) ; 12 € (6-25 ans) ; 6 € (RSA, ASS, minimum vieillesse, scolaires)
gratuit pour les enfants de moins de 6 ans
accès : 110 rue de Lyon – 75012 Paris
métro Bastille (lignes 1, 5 et 8), Gare de Lyon (RER), Bus : 20, 29, 65, 69, 76, 86, 87, 91
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– Naples pour passion Chefs-d’oeuvre de la collection De Vito (titre provisoire)
29 mars – 25 juin 2023
Musée Magnin
4 rue des Bons Enfants
21000 Dijon
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées
nationaux – Grand Palais, le musée Magnin à Dijon et le
musée Granet à Aix-en-Provence, avec la collaboration de
la Fondation De Vito.
L’exposition souhaite révéler au public la qualité et la richesse de la collection d’oeuvres napolitaines du Seicento réunie par l’ingénieur Giuseppe De Vito (Portici, 1924 – Florence, 2015). Cet ensemble exceptionnel est aujourd’hui abrité dans la villa historique d’Olmo, près de Florence, dans laquelle ont été installées les oeuvres après la mort du collectionneur.
40 tableaux sur les 65 oeuvres conservées dans la collection De Vito sont présentés pour la première fois en France et permettent de montrer les choix de l’amateur et de faire voyager le visiteur dans la Naples foisonnante du XVIIe siècle. Le parcours est organisé en sections successives, thématiques, avec un accent sur quelques-unes des personnalités artistiques les plus éminentes.
Nés de grands collectionneurs, les musées Magnin à Dijon et Granet à Aix-en-Provence abritent quant à eux des collections napolitaines jusqu’ici peu étudiées. Elles font naturellement écho à celles de la fondation De Vito, en forme de contrepoint, et dans une présentation propre à chacun des deux musées.
Les tableaux de Batistello Caracciolo, Bernardo Cavallino, le Maître de l’Annonce aux bergers, Jusepe de Ribera ou Massimo Stanzione montrent l’influence du caravagisme et les développements du naturalisme à Naples. D’autres oeuvres par Francesco Fracanzano, Antonio de Bellis ou Andrea Vaccaro témoignent des inflexions classicisantes et du rôle d’autres centres de création, italiens et étrangers, dans les nouveaux choix esthétiques qui se font jour au sein de la cité parthénopéenne à partir des années 1630. Les genres chers aux artistes napolitains comme la bataille et la nature morte font l’objet de sections spécifiques. Enfin, plusieurs toiles de grande qualité soulignent les innovations de deux grandes individualités de la fin du Seicento, Mattia Preti et Luca Giordano.
L’accrochage de ces oeuvres est complété de documents d’archives (lettres, photographies…) ainsi que d’une vidéo.
Cette exposition sera ensuite présentée au musée Granet, à Aix-en-Provence, du 15 juillet au 29 octobre
2023.
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ouverture : tous les jours sauf les lundis, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h
tarifs : 5,50 € ; TR 4,50 €
gratuit pour les moins de 18 ans et pour les
moins de 26 ans citoyens ou résidents de longue durée d’un État membre de l’Union européenne ; professeurs et conférenciers disposant d’un « pass éducation », demandeurs
d’emploi, personnes handicapées avec un accompagnateur, adhérents de la Société des
Amis des musées de Dijon, adhérents de l’ICOM et autres catégories sur présentation d’un justificatif, et pour tous les visiteurs le premier dimanche de chaque mois.
– Gertrude Stein
L’amitié entre Pablo Picasso et Gertrude Stein s’est cristallisée autour de leur travail respectif, fondateur ducubisme, à partir des éléments constitutifs de leur pratique littéraire et picturale : décomposition analytique des éléments simples du quotidien, du langage et de la peinture, sérialité – autant de caractéristiques formelles fondatrices des avant-gardes picturales et littéraires du XXe siècle. Gertrude Stein est une immigrée juive américaine, homosexuelle, installée à Paris, rue de Fleurus, peu après l’arrivée de Picasso dès 1901, Espagnol, fiché par la police comme anarchiste. Leur position d’étrangers, maîtrisant approximativement le français, leur marginalité fondent leur appartenance à la bohème parisienne et leur liberté artistique. Leur postérité est immense. Examiner leur complicité, leur inventivité permet d’esquisser une traversée des approches conceptuelles et performatives de l’art, de la poésie, de la musique et du théâtre à travers de grandes figures : Picasso et G. Stein, Matisse, Gris, Picabia, Duchamp, Ed Ruscha, Jasper Johns, Andy Warhol, Bruce Nauman, Carl Andre, Roni Horn, Glenn Ligon, Anne Teresa De Keersmaecker, John Cage, Steeve Reich, Bob Wilson, Philip Glass…
Ainsi l’exposition propose une approche documentée de la vie de Gertrude Stein, à deux pas du musée du Luxembourg qu’elle fréquente assidument, de son amitié avec Picasso et de ses liens avec la scène artistique parisienne. Programmée à l’occasion de la Célébration Picasso 1973-2023, l’exposition réunit 28 oeuvres de la collection du Musée national Picasso-Paris essentiellement centrées autour des années héroïques des Demoiselles d’Avignon et du cubisme; ainsi qu’un ensemble d’archives remarquable. Mises en relation avec des textes de Gertrude Stein, elles formeront le coeur de l’exposition. La postérité, notamment
américaine, de ce dialogue constitue la seconde moitié du parcours avec des oeuvres emblématiques de
Rauschenberg, Fluxus, Bruce Naumann, Roni Horn, Glenn Ligon… Enfin, une série de portraits et d’oeuvres hommage, comme le fameux polyptique de Andy Warhol ou une installation de Darboven, montrent la dimension iconique de la figure de Gertrude Stein.
13 septembre 2023 – 28 janvier 2024
Musée du Luxembourg 19 rue Vaugirard 75006 Paris
horaires d’ouverture: tous les jours de 10h30 à 19h
nocturne les lundis jusqu’à 22h
fermeture anticipée à 18h les 24 et 31 décembre
accès :
M° St Sulpice ou Mabillon
Rer B Luxembourg
Bus : 58 ; 84 ; 89 ; arrêt Musée du
Luxembourg / Sénat
– Poètes au jardin (vers 1350 – vers 1610)
octobre 2023 – janvier 2024
Musée national et domaine duchâteau de Pau
rue du Château64000 Pau
Exposition produite par la Réunion des muséesnationaux – Grand Palais et le Musée national etdomaine du château de Pau
(pré-communiqué)
La Renaissance, entendue au sens large, suscite le développement de l’art et de la science des jardins selon des formules et des variétés particulièrement riches. Leur transformation, leur aménagement mais aussi leur place dans la pensée humaniste travaillée par plusieurs générations concourent à l’élaboration de principes esthétiques renouvelés, de la fin du XIVe siècle au début du XVIIe siècle.
Dans la pure expression de leur art comme dans la profondeur de leur expérience intime, sept poètes, au fil de cette longue Renaissance initiée avec François Pétrarque et finissant avec William Shakespeare, goûtent aux charmes du jardin, dans la sphère privée ou dans le service et la louange des princes. Les jardins Renaissance, en constante et foisonnante transformation, de l’héritage médiéval à de nouvelles formes de représentation de la connaissance, de la pensée, de la sensibilité, manifestent leur aptitude à stimuler, parfois même à devancer la poésie.
En l’espace de plus de deux siècles et demi, avec les conquêtes successives de l’art des jardins proprement dit, c’est aussi la vie heureuse et renommée d’un ensemble particulier que l’exposition s’efforce d’esquisser.
Les jardins du château de Pau, aujourd’hui diminués et en grande partie oubliés, sont évoqués à partir des premiers résultats d’une enquête destinée à en préciser les connaissances, sur la base de nouvelles données documentaires et archéologiques. Cet ensemble princier, puis royal, pouvait être défini en 1598 comme « les plus beaux que j’aye veu en aucun endroit de l’Europe ». sept étapes poétiques au jardin
Sept séquences, autant que de poètes qui ont été réunis, rythment la présentation selon un projet tourné vers une histoire des arts faite d’échos et de transversalité, que le visiteur est invité à parcourir. Chacune de ces séquences est tout à la fois consacrée à un temps et à un regard. les oeuvres et leur distribution
Les oeuvres présentées provenant essentiellement de collections publiques françaises et étrangères, décrivent un itinéraire réparti en sept stations, chacune placée sous le regard de l’un des poètes choisi et dédiée tout à la fois à la lecture et à la présentation d’oeuvres directement en rapport avec l’auteur correspondant.
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ouverture : domaine national ouvert tous les jours du lundi au dimanche.
fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
le Domaine et ses jardins : Parc et jardins du
Domaine (entrée libre tous les jours de l’année)
tarifs : 9 € – 7 € TR
Gratuit pour les moins de 18 ans et les moins de 26 ans ressortissants de l’U.E.
accès : train – Gare de Pau à 10 minutes du château par le funiculaire Voiture – Sortie Pau centre par l’A64 – suivre « Parking place Verdun – Château de Pau », puis 10 minutes à pied ou 2 minutes par la navette électrique gratuite au départ du parking Salles accessibles au P.M.R.
informations et réservations : 05 59 82 38 02
reservations.chateau-de-pau@culture.gouv.fr
www.grandpalais.fr
– Prosper Mérimée
15 décembre 2023 – 18 mars 2024
Musée national du Château de Compiègne Place du Général de Gaulle, 60 200 Compiègne
Exposition produite par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et le Musée national du Château de Compiègne
(pré-communiqué)
Cette exposition s’attache à restituer les multiples facettes d’un écrivain fascinant, en présentant non seulement le créateur d’un des plus grands mythes littéraires de tous les temps (Carmen), mais aussi l’archéologue qui, en France, se trouve à l’origine de la protection des monuments historiques, l’homme du monde et l’académicien, le sénateur et l’épistolier proche du couple impérial.
Le visiteur découvre ainsi le rôle de Mérimée en tant qu’inspecteur des Monuments historiques et son intérêt pour l’antiquité classique et l’archéologie. À travers portraits et documents, l’évocation de ses amitiés – écrivains comme Stendhal ou Hugo, peintres comme Delacroix – introduit ensuite à une section consacrée à l’homme de lettres en nous mettant en présence de Colomba ou Carmen, dont Bizet devait faire l’un des opéras les plus célèbres du répertoire.
Fils de peintre et proche des artistes, Mérimée a construit une oeuvre littéraire où l’art – et la peinture en particulier – est une source d’inspiration importante. Il est moins connu qu’il fit deux recensions du Salon, en 1839 et 1853.
Or la critique d’art de Mérimée apparaît aujourd’hui comme un chaînon oublié de l’histoire, alors qu’elle s’avère essentielle pour la compréhension des rapports complexes entre romantisme finissant, académisme et réalisme.
L’exposition rassemble les principales oeuvres ayant retenu son attention. Mérimée a une troisième carrière sous le Second Empire, celle du courtisan et des honneurs, conséquence de ses relations privilégiées avec l’impératrice Eugénie qu’il connait dès l’enfance. À tous ces titres, il fréquente le château de Compiègne, alors Palais impérial. Les objets d’usage quotidien, dont on sait avec certitude qu’ils se trouvaient dans l’un des appartements mis à sa disposition, sont pour la première fois révélés au public.
Les murs qui le reçurent en son temps lui rendent hommage dans une exposition proposant d’appréhender, au-delà de l’écrivain, les aspects divers d’un personnage qui reflète son époque tout autant qu’il contribue à la façonner et dont il incarne à la fois l’imaginaire et la tension vers la discipline scientifique.
Au long d’un parcours à la muséographie discrète dans les grands appartements du château de Compiègne, la présentation des œuvres, documents et objets exposés est organisée selon sept thèmes :
– Les origines familiales de Mérimée
– Son intérêt pour l’antiquité classique et l’archéologie. L’inspecteur des Monuments historiques
– Le cercle amical : peintres et écrivains
– L’homme de lettres
– Carmen
– L’homme officiel : courtisan, académicien, sénateur. Mérimée à Compiègne
– Mérimée et l’art de son temps : les Salons de 1839 et 1853. Le système des Beaux-Arts.
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Fermeture le 25 décembre, le 1er janvier.
dernier accès à 17h15.
l’exposition :
tous les jours sauf le mardi, de 10h à 16h30.
Dernier accès à 16h.
tarifs (incluant les collections permanentes)
: 9,50 €, TR 7,50 €, tarif groupe 8 €
gratuit pour les moins de 26 ans, les adhérents des Sociétés d’Amis des musées nationaux des Châteaux de Compiègne et de Blérancourt et le 1er dimanche de chaque mois pour tous
accès : depuis Paris, autoroute A1, sortie n° 9 vers Compiègne Sud. SNCF Paris gare du Nord-Compiègne (40 mn environ)
depuis Lille, autoroute A1, sortie n° 10 à Arsy