Le roman de Jane Smiley, « le paradis des chevaux » fait 610 pages…
Le problème c’est que ça ne devient intéressant et plus cohérent qu’à partir de la page 600 environ !
Avant ça ressemble plutôt à des nouvelles mises bout à bout. Avec quand même une cinquantaine de personnages différents (dur dur à mémoriser !).
Quelques phrases intéressantes quand même :
si on attend d’y croire pour agir on n’agit jamais, mais si on commence par agir on finit par y croire.
En pleine crise d’agoraphobie, on ne peut ni rester ni partir.
Le lecteur aura aussi intérêt à aimer les chevaux ou du moins être intrigué par eux, sinon l’ennui sera mortel.
Une invraisemblance relevée : Longchamp est à l’est de Paris !