jusqu’au 6 Juin 2005
« La France romane au temps des premiers capétiens (987-1152) » une exposition magnifique.
Toute l’exposition commence par la mise en place de l’art roman, au VIIIème siècle
Cette exposition du Musée Eugène Delacroix à Paris, intitulée “autour de l’autoportrait au gilet vert”, a fermé le 10 mai 2005.
L’autoportrait au gilet vert est le très célèbre tableau d’Eugène Delacroix, huile sur toile, qui se trouve habituellement au Louvre. Pour l’occasion, il a été transféré ici.
La copie en héliogravure (technique de transfert d’une photo sur une plaque en cuivre et présentant des variations minimales dans les couleurs), a été réalisée par un peintre graveur contemporain, Pietro Sarto, avec les procédés anciens.
Le livre de Betty Edwards est un best-seller, indispensable pour tous ceux qui veulent apprendre ou se perfectionner dans le dessin.
Betty Edwards a la double casquette de psychologue et de professeur de dessin ; c’est ce qui lui a permis de mettre en lumière les mécanismes complexes qui se passent dans notre cerveau lorsque nous dessinons.
du 1er avril au 3 juillet 2005
Actuellement se tient, au musée d’Art Américain de Giverny (merveilleux petit musée) une exposition à ne pas manquer sur l’oeuvre gravé de Marie Cassatt, de 1880 à 1890.
Mary Cassatt utilise toutes les techniques de gravure et plus particulièrement l’aquatinte, inventée (ou tout au moins mise au point) par Le Prince au XVIIIème siècle, et qui rend un aspect de glacis sur dessin.
Le thème de cette exposition est le néo-impressionnisme, dont Seurat fut l’inventeur.
Le terme « pointillisme » serait synonyme de néo-impressionnisme, d’après l’encyclopédie en ligne « wikipédia« .
C’est l’occasion de découvrir (ou redécouvrir) plusieurs très grands peintres : Charles Angrand « La Seine le matin » 1886 – à mi chemin entre le pointillisme et l’impressionnisme, « La Seine à l’aube », variations sur le jaune et le bleu.
du 16 Mars 2005 au 17 Juillet 2005
Actuellement au musée du Luxembourg à Paris, nous pouvons voir l’exposition » Matisse, une seconde vie », consacrée à l’œuvre tardive de Henri Matisse, accompagnée de nombreuses lettres écrites à son ami André Rouveyre entre 1941, et sa mort en 1954.