Chaque exposition est pour nous l’occasion de faire le point sur un (ou des) peintre(s), l’occasion d’évoquer sa biographie, son style etc.
Par conséquent, nous gardons les articles tels quels, en ligne et donc parfaitement et facilement accessibles, ceux-ci pouvant servir par la suite aux chercheurs, étudiants ou simplement amateurs d’art.
À l’occasion de son XXème anniversaire, le musée Picasso nous a fait un beau cadeau : deux expositions. La première était consacrée au dessin en général et s’intitulait « Picasso. La passion du dessin » et la seconde « Autour des demoiselles d’Avignon », nous présentait les carnets de croquis et les esquisses qui présidèrent à la réalisation de cette oeuvre.
Girodet (1767-1824) était tombé dans l’oubli (il ne figure même pas dans beaucoup de dictionnaires de la peinture !). C’est le mérite de cette belle exposition que de le remettre en lumière.
Son oeuvre semble indissociable de sa vie et l’exposition proposée par le Musée du Louvre en 2005 nous permet de mieux la cerner. Plus de cent oeuvres y sont présentées.
Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson est né à Montargis le 29 janvier 1767. Son père meurt en 1784 et sa mère en 1787. Il dessinait, dit-on, dès l’âge de 6 ans et sa mère l’aurait présenté au peintre David qui, séduit par le talent du jeune Anne-Louis, le fait entrer à son atelier en 1784.
Une exposition a lieu actuellement ‘en 2005) dans le très beau cadre du musée Condé au château de Chantilly sur un dessinateur du XVIIème siècle très peu connu : Nicolas Lagneau
Une occasion à ne pas manquer de passer par cette belle petite ville de Belgique (la Venise du nord).
Les tableaux prêtés proviennent de grands musées européens et américains et sont réunis pour une exposition itinérante qui est passée par le Musée Thyssen-Bornemisza (Madrid), est actuellement au Musée Groeninge (Bruges) et finira par la Frick Collection (New York).
jusqu’au 29 Août 2005Le Louvre nous présente « les dessins italiens de la Renaissance au premier âge baroque ».
Il y a cent trente de ces dessins acquis par l’Etat en 2004 grâce au mécénat du groupe Carrefour.
Toutes ces feuilles appartenaient à Juan de Bestegui nous apprend le magazine « Connaissance des Arts » de Juin 2005.
Exposition au Musée d’Orsay, dans laquelle on voit les petits bustes de Daumier, désopilants, à la limite monstrueux, effrayants, représentant des personnages importants de son époque, ainsi que les dessins qui leur correspondent.
Car Daumier qui était, entre autre, dessinateur humoristique pour deux journaux satyriques de l’époque « le charivari » et « la caricature » créés par Philipon, fabriquait ces bustes dans le but d’avoir des modèles pour ses dessins.
