Wally Lamb est un grand romancier qui fait ses romans comme on fait un film : il faut regarder à la fin du livre, les remerciements à tous ses collaborateurs, tous ceux qui l’ont aidé dans cette entreprise, à écrire ce livre de près de 700 pages. D’ailleurs, beaucoup d’écrivains américains agissent ainsi. Ils pensent que le roman est une affaire sérieuse et qu’on ne peut pas tout savoir. Comme le faisait aussi Zola.
Mais depuis Zola beaucoup d’eau a passé sous les ponts… c’est le cas de le dire !